j'ai trouvé la solution pour fuir le Noël en famille que je déteste toute, la trinité foie gras, saumon et huîtres alors que Françoise ça fait 8 ans que je suis végétarienne c'est quand même pas compliqué.
oui, pour éviter le côté sirupeux-gras de la bûche, de l'amour familial et de la paix dans le monde occidental, j'ai été ne pas fêter Noël en terre musulmane. patrie da la moitié de mes ancêtres où tout le monde a le bon goût de se foutre du Christ (oui parce que sinon mes autres ancêtres, je vous rassure, étaient totalement occidentaux). là, j'ai en outre retrouvé l'hiver et la neige ainsi que cette démarche caractéristique, hésitant entre le pingouin et la femme enceinte de 10 mois, qui avait déjà fait mon succès à Montréal.
trève de blablas et de confiseries,
photos (et légéndes, au cas où ça intéresse):

dans un café, une chouette décoration

l'éclairage de mon café préféré de Sarajevo et je crois du monde entier

des gens qui y traînaient, mon thé turc

autre vue

la fontaine du quartier ottoman. la légende dit qu'il faut boire de son eau pour revenir un jour. et jusque là ça a fonctionné
(en revanche, je n'ai pas rencontré l'homme de ma vie sur la promenade à côté du pont du prince)
en plein quartier ottoman, des maisons austro-hongroises. une mendiante, une banque et des impacts de balles, Sarajevo.

un magasin de soieries


le quartier austro-hongrois

encore

là, c'est parce que j'aime bien prendre les bougies en photo