oui, pour éviter le côté sirupeux-gras de la bûche, de l'amour familial et de la paix dans le monde occidental, j'ai été ne pas fêter Noël en terre musulmane. patrie da la moitié de mes ancêtres où tout le monde a le bon goût de se foutre du Christ (oui parce que sinon mes autres ancêtres, je vous rassure, étaient totalement occidentaux). là, j'ai en outre retrouvé l'hiver et la neige ainsi que cette démarche caractéristique, hésitant entre le pingouin et la femme enceinte de 10 mois, qui avait déjà fait mon succès à Montréal.
trève de blablas et de confiseries,
photos (et légéndes, au cas où ça intéresse):
dans un café, une chouette décoration
l'éclairage de mon café préféré de Sarajevo et je crois du monde entier
des gens qui y traînaient, mon thé turc
autre vue
la fontaine du quartier ottoman. la légende dit qu'il faut boire de son eau pour revenir un jour. et jusque là ça a fonctionné (en revanche, je n'ai pas rencontré l'homme de ma vie sur la promenade à côté du pont du prince)
en plein quartier ottoman, des maisons austro-hongroises. une mendiante, une banque et des impacts de balles, Sarajevo.
un magasin de soieries
le quartier austro-hongrois
encore
là, c'est parce que j'aime bien prendre les bougies en photo
8 commentaires:
hum la dernière est très, comment dire, très phallique...
Jolies photos avec un faible pour la fontaine que je voudrais la même dans mon salon, le prince j'ai déjà merci.
Sinon bonne année et blablabla...
"(en revanche, je n'ai pas rencontré l'homme de ma vie sur la promenade à côté du pont du prince)"
What ??!!!
Sinon bah beaux nénés.
Dis donc, quand même, sur la photo sous-titrée "le quartier austro-hongrois", ce serait pas des décorations de Noël ? Ou alors c'est que j'ai été lobotomisée par l'esprit de Noël occidentalo-auvergnat...
Sinon ça me déprime de voir tes photos, parce que moi aussi j'étais censée partir (demain, à Barcelone), mais que je suis malade et donc coincée chez mes parents, l'endroit le plus déprimant de la terre entière. Ma syntaxe et mon vocabulaire ne sont pas très fouillés aujourd'hui, tu m'excuseras, j'ai de la fièvre.
Dis, la prochaine fois que tu vas en Bosnie, je peux venir avec toi ?
Ah tiens, tant que j'y pense, tu ne m'a pas envoyé un message pour me dire que tu serais au pays vers le 15 ? Si c'est bien le cas, peut-être que carrément je remonterais avec toi à Paris.
Y a The Ex (le meilleur groupe de toute la création) qui joue aux... euh... Instants Chavirés ? Les 16, 17, et 18, avec des groupes qu'ils invitent eux-mêmes. Donc, je tiens absolument à être à la soirée Zea + The Ex, parce qu'après ça je pourrais mourir en paix.
J'ai plus qu'à organiser les détails logistiques et je te tiens au courant, dis moi si ça t'intéresse (c'est pas du punk bidon à 150 décibels, hein...).
Bref, mon commentaire ressemble plus à un e-mail, mais ça fait longtemps que je t'ai pas eu au téléphone.
On se tient au courant, donc, bisous,
D.
P.S: ... et surtout la santé !
La loose> c'est une autre légendre de Sarajevo: sur la promenade qui va du pont du prince au pont machin, on doit rencontrer l'homme de sa vie. et jolies couilles!
d.> c'est de moins en moins sûr vu que je vais ptêtre aller à Madrid mais je sais pas, ça change tout le temps. te tiens au courant. oui, tu peux venir avec moi en Bosnie, t'ai déjà dit. d'autant que mes parents finissent la maison en avril.
PS: si, ce sont des décorations de Noël. Le quartier austro-hongrois est traditionnellement plus catholique. c'est pour ça.
ça devait etre bien un noel sans musique à la con, bouffe qui te fout en l'air tout ton "manger-bouger"...
Sarajévo, la ville de tant d'espoir, dommage qu'il y ait autant d'imbéciles chez les humains.
La vue de ces photos me rappelle qeu lorsque j'ai moi même foulé le sol bosniaque je n'avais pas encore d'appareil numérique et que je ne sais plus ce que j'ai fait de celles que j'avais pris en argentique...moment déprime...
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